La qualité de l’air intérieur (QAI)
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La qualité de l’air intérieur : une notion large, un enjeu majeur de santé publique
Si la question de la pollution de l’air extérieur dans les villes est un sujet d’actualité souvent évoqué depuis longtemps, il est également important de s’intéresser à la qualité de l’air intérieur dans les bâtiments. En effet, l’air que nous respirons à l’intérieur des logements et des bâtiments tertiaires révèlent un taux de pollution 2 à 5 fois plus élevé que l’air présent à l’extérieur, alors que nous passons près de 80% de notre temps en intérieur. Tandis que la pollution de l’air a d’abord été considérée du seul point de vue de l’air extérieur, le problème spécifique de la QAI a commencé à se poser dans les années 1970, lors de la reconnaissance du Syndrome du Bâtiment Malsain. La QAI est devenue aujourd’hui un enjeu majeur de santé publique.
Qu’est-ce que la qualité de l’air intérieur (QAI) ?
L’air intérieur, c’est l’air que nous respirons dans un espace clos (logements, bureaux, écoles, hôpitaux, transports en commun, etc). La qualité de cet air va directement impacter votre confort, votre état de santé et celui du bâti. Par exemple, une bonne qualité d’air permet d’éviter l’apparition de moisissure dans les bâtiments et assure le bien-être au quotidien des occupants. Alors qu’une mauvaise qualité de l’air intérieur peut avoir de nombreux effets néfastes, notamment sur votre santé. La QAI se mesure par la composition de l’air dans un environnement clos, ainsi que par l’étude de paramètres de conforts tels que la température ou l’humidité.
Quels sont les facteurs d’influence de la qualité de l’air intérieur ?
Les chiffres révèlent que 10% des logements sont surpollués. Les sources potentielles de polluants sont nombreuses à l’intérieur des bâtiments : matériaux de construction, produits de décoration, d’entretien, d’ameublement… Nous laissons entrer chez nous et dans tout environnement clos de nombreux polluants. En plus de ces facteurs, l‘humidité et le CO2 dégagés par les activités quotidiennes des occupants sont également des sources inévitables de pollution de l’air intérieur. C’est pourquoi il est important d’agir pour évacuer l’air vicié des bâtiments.
Quels sont les effets d’une mauvaise QAI ?
Les symptômes du Syndrome du Bâtiment Malsain ne sont qu’une infime partie des conséquences possibles. Une mauvaise qualité de l’air intérieur peut être responsable de maladies sur le court terme (rhinites, bronchites…) comme sur le long terme (allergies, cancers…), mais elle peut également réduire l’espérance de vie : en France, 20 000 décès prématurés par an sont causés par les polluants intérieurs de l’air. Et le nombre de décès au niveau mondial imputables à une mauvaise QAI est encore bien supérieur : chaque année dans le monde, 4 millions de personnes meurent prématurément de maladies dues à la pollution de l’air intérieur des habitations (Pneumonies, AVC , Cancers du poumon…).
Les solutions pour une bonne qualité de l’air intérieur
Bien concevoir les espaces intérieurs est une première étape pour améliorer la qualité de l’air intérieur (diagnostique du bâtiment, choix des matériaux, des produits d’entretien et de décoration…). Mais le plus important, c’est d’avoir un système de ventilation efficace, bien installée et bien calibrée.
En effet, le premier objectif d’un système de ventilation est de garantir une bonne qualité d’air intérieur, en remplaçant l’air vicié par de l’air neuf extérieur.
Les solutions Aereco
Aereco est un expert dans ce domaine et propose plusieurs systèmes de ventilation pour convenir à chaque besoin, particulièrement la ventilation modulée. Tous nos produits ont un fonctionnement intelligent qui permet d’allier QAI et économies d’énergie.
Enfin, pour vérifier l’efficacité de votre système de ventilation et/ou adapter le débit d’air, vous pouvez vous équiper de capteurs de QAI. Chez Aereco, nous vous en proposons une gamme complète.